Plaquette de présentation

Fondé à l'initiative de plusieurs membres issus de différentes formations québécoises,LA GRANDE VISITE, groupe traditionnel, propose un répertoire très étendu de danses et de chansons traditionnelles, issu de toutes les régions et de toutes les époques de la «Belle Province».

Au cours de la soirée, LA GRANDE VISITE entraîne les spectateurs dans la danse : Le public devient acteur. On danse le set carré, le quadrille, la contredanse, le breakdown, parfois même le cotillon. On respire un peu pendant les démonstrations de gigue, les numéros de percussions ou les pièces instrumentales. Le bal québécois s'adresse à plusieurs publics, des habitués de la danse de figures aux néophytes du domaine, des jeunes du milieu scolaire aux moins jeunes de l'âge d'or, du petit groupe presque familial (20 personnes) à la foule démesurée (500 ou 2000 personnes).

Luc Gaudreau, le câlleur-gigueur, est originaire de Montmagny au Québec. Il joue un rôle très important dans le déroulement de la soirée, dont il assure pour une bonne part la réussite, en donnant aux danseurs les indications pour enchaîner les pas et figures des danses québécoises, avec humour et un grand sens de la pédagogie. Il est aussi animateur de stages de danses québécoises.

Benoît Reeves, a été le fondateur des « Maudzits Français ». Il a continué ensuite avec « les Maganés » à enrichir son jeu d'accompagnement au piano, énergique et généreux.
Son but : promouvoir avec les veillées, bals et soirées, une certaine idée de la fête et de la convivialité québécoise.>

Serge Desaunay est très impliqué dans les musiques québécoises et celtiques depuis de nombreuses années. Il a joué avec les Maudzits Français, et bien d'autres musiciens de la scène québécoise en France. Passionné par l'accordéon, il multiplie les rencontres et les expériences, pour passer du traditionnel au swing musette, tout en poursuivant un travail de compositeur.

Bruno Kowalczyk joue de l'harmonica depuis l'âge de 6 ans, et de la musique québécoise depuis 18 ans. Deux disques à son actif : « C'est pas pire » (1995) et « Ca pas d'allure » (1999). Prépare actuellement une méthode d'harmonica, consacrée à la musique traditionnelle québécoise. Ce qu'il aime par dessus tout : l'énergie et la convivialité dégagées par cette musique.

Contact : Benoît Reeves, 7, Rue Didot, 75014 Paris, Tél : 01  40 44 88 96. ; E-Mail :